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LA MAFIA JUDICIAIRE TOULOUSAINE " Article 41 de la loi du 29 juillet 1881 - Déclaration universelle des droits de l'homme - Article 6 de la C.E.D.H " |
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FAUX EN ECRITURES
PUBLIQUES CARRACTERISES
" D’UN MAGISTRAT TOULOUSAIN
Monsieur CAVE Michel agissant
en tant que juge de l’exécution.
Rend un jugement
de subrogation le 29 juin 2006 en violation de tous les droits de défense.
A la demande de Maître FRANCES Avocate.
Usant que Monsieur LABORIE André était incarcéré sans aucun moyen de défense.
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Monsieur CAVE avait pris connaissance par
un arrêt de la cour d’appel de Toulouse rendu le 16
mai 2006, que la société Athéna Banque n’existait plus depuis décembre 1999
et pour cette cause ayant annulé le commandement du 5 septembre 2003.
Monsieur CAVE Michel a trouvé le moyen
d’accepter en date du 29 juin 2006 une sommation faite le 21 octobre 2005
à la société Athéna banque. Alors qu’elle n’existait plus depuis décembre 1999.
Monsieur CAVE Michel a trouvé le moyen d’accepter
la dénonce faite par la société Athéna banque en date du 21 juin 2006. Alors qu’elle n’existait plus depuis décembre 1999.
Monsieur CAVE Michel a trouvé le moyen
d’accepter le 29 juin 2006 le commandement réitéré le 20 octobre 2003, délivré
à la demande de la société Athéna banque et comme l’indique en sa page deux
du cahier des charges du 1er décembre 2003. Alors qu’elle n’existait plus depuis décembre 1999.
Monsieur CAVE Michel a trouvé le moyen
d’accepter le 29 juin 2006 de dire que ce commandement du 20 octobre
Monsieur CAVE Michel a trouvé le moyen
d’accepter le 29 juin 2006 que ce commandement du 20 octobre 2003 n’avait
jamais été critiqué. Alors qu’il est prouvé qu’il était en possession de l’acte
de contestation devant le juge de l’exécution effectué le 31 octobre 2003,
revendication concernant principalement
l’inexistence de la société Athéna Banque depuis décembre 1999 dont nullité
du commandement.
Monsieur CAVE Michel reconnaît en date
du 29 juin 2006 que les poursuites sont fondées sur le commandement du 20
octobre 2003. Alors qu’il sait qu’il est nul.
Dans ce mémoire, il est reconnu, que le 16 mai 2006, la Cour d'Appel de PARIS, statuant sur l'appel des époux LABORIE, a annulé le commandement précité.
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Monsieur CAVE Michel au vu de ce commandement
du 20 octobre 2003 « nul » , a rendu le 29 juin 2006 par faux et
uisage de faux et a ordonné la subrogation des poursuites en saisie immobilière
à la demande de Maître FRANCES Elisabeth avocate au prétexte d’une Banque
la Commerzbank, cette dernière ne pouvant être créancière et encore plus ne faisant valoir
aucun titre de créance et comme constaté par le procès verbal en date du 10
août 2011 effectué par la SCP d’huissier de justice à Toulouse.
Que Monsieur CAVE Michel juge de l’exécution
à volontairement rendu un jugement de subrogation en date du 29 juin 2006
en toute sa conscience, « constitutif de faux intellectuels faux en écritures publiques »,
en recelant de fausses informations portées par Maître FRANCES Elisabeth avocate
dont ces informations recelées en ses différents actes, proviennent en partie
de Maître MUSQUI Bernard avocat à Toulouse qui agissait avec la SCP d’huissiers
PRIAT ; COTIN ; LOPEZ, en tant que chasseur de primes sans un quelconque
pouvoir de la société Athéna banque, usant d’un faux pouvoir du 9 septembre
2002. Alors que la société Athéna banque n’existait
plus depuis décembre 1999.
Et autres encore plus grave
«
Détournement d’une somme de 271.000 euros »
Le début de la flagrance :
Jugement
de subrogation du 29 juin 2006
La constatation des éléments que
différents juges se refusent de constater pour couvrir son auteurs et complices
:
Constats
d’huissiers de la SCP FERRAN en date du 10 août 2011.
Conséquence de tels agissements :
Saisine de la gendarmerie de Saint Orens : Encore
une fois le 30 décembre 2011.
Notre
propriété est toujours établie mais occupée sans droit ni titre par un tiers.
ACTE
PRODUIT AUX AUTORITES JUDICIAIRES.
Arrêt de la Cour de Cassation du 27 septembre
2000 N° 99-87929
Celui
qui dénonce à l’autorité compétente des faits délictueux imputés à un magistrat
ne commet à l’égard de ce magistrat aucun outrage s’il se borne à spécifier
et qualifier les faits dénoncés.
Article
41 de la loi du 29 juillet 1881
Ne donneront
lieu à aucune action en diffamation, injure ou outrage, ni le compte rendu
fidèle fait de bonne foi des débats judiçiaires,
ni les discours prononcés ou des écrits produits devant les tribunaux.
Article
434-1 et suivant du code pénal
Le fait, pour
quiconque ayant connaissance d'un crime dont il est encore possible de prévenir
ou de limiter les effets, ou dont les auteurs sont susceptibles de commettre
de nouveaux crimes qui pourraient être empêchés, de ne pas en informer les
autorités judiciaires ou administratives est puni de trois ans d'emprisonnement
et de 45000 euros d'amende.